Enfin seuls [Rommie]

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Eragon était au commandemant d'un petit vaisseau de transport, il était seuls avec Rommie, seuls avec son amante, cependant, le temps n'était pas à la joie, Eragon en voulait encore un peu à Rommie de lui avoir caché l'existance de sa soeur, Eragon regardait Rommie qui était silencieuse, le vaisseau sortit enfin de l'hyper espace après un long moment de voyage, du moin il c'était passé très lentement pour les deux occupants, Eragon et Rommie était arrivé en orbite de Naboo où ils resteraient seuls pendant une ou deux semaines, pour entrainer Rommie. Eragon fit atterrir le vaisseau sur la plate forme d'attérissage des appartement de Rommie, le jeune Jedi ce leva et dit à Rommie :

Allons y...

Eragon prit les valise et ils partirent en direction des appartements de Rommie, ils étaient enfin seuls, Eragon ce demandait si c'était vraiment une bonne chose, mais il aimait Rommie, il lui en voulait de ne pas lui avoir parlé de Camille, mais il ne pouvait pas ne pas lui en vouloir, Rommie avait le droit de vouloir cacher sa soeur, pour une raison quelconque. Lorsqu'il arrivèrent enfin dans les appartement de Rommie, Eragon posa les valises, la porte ce referma et Eragon ce retourna vers Rommie, ils étaient enfin seuls, Eragon s'approcha de Rommie et la serra dans ses bras, plongeant sa tête dans les cheveux de Rommie, il dit :

Je t'aime...

puis il l'embrasse.

Invité

Ils étaient déjà dans la périphérie de Naboo. Le vaisseau arriva au dessus de la maison, si on ne peu pas appeler cela un petit palais, de Rommie. Elle le possédait depuis qu'elle était gouverneur de la république. Mais aujourd'hui, elle venait en tant que padawan avec Eragon, son amant. Cela faisait plusieurs mois qu'ils entretenaient une relation cachée à la face du monde, car leur poste de jedi et padawan seraient alors mis en péril.

Eragon voulait aller sur Naboo pour des raisons qu'elle ne connaissait pas. De toute façon, le conseil avait donné au gouverneur un séjour de repos, suite aux incidents de Coruscante. Cela se répétait un peu trop ces derniers temps. Mais le repos ne lui ferait pas de mal.

Les hommes de l'Andromeda et le commodore Antares étaient déjà là. Ils avaient bien sur remplit leur fonction en fouillant la totalité du palais avant leur arrivé. Eragon sortit en premier et Rommie suivit, et repeta une fois de plus au commodore de l'appeler Rommie en ce lieu et pas "Gouverneur". Mais rien a faire, cette homme était plus que tétu.

Eragon posa les valises dans l'entrée et deux gardes les prirent en charge, tandis que Rommie était deja partie se changer, pour de nouveau enlever son uniforme et revetire un vêtement un peu moins officiel. Elle vota pour la longue robe à style antique.

Elle alla sur la terrasse pour observer le paysage. Un léger vent la rafraichissait et faisait voler ses cheveux en arrière et sa longue robe blanche qui était très légère. Elle se laissa faire par Eragon. Ils s'embrasserent un instant puis elle leva la tête.

- Moi aussi je t'aime.

Qu'est ce qu'elle aurait aimer que le temps soit bien plus long. Mais personne ne pouvait arreter le temps, elle embrassa de nouveau eragon :

- Ca faisait longtemps que nous ne nous somme pas retrouver seul, tout les deux.

Elle sourit

- Il va falloir en profiter avant que le conseil ou la république ne nous rappelle.

Elle sentit Eragon un peu tracasser, mais elle ne savait pas par quoi.

- Qu'est ce qui te dérange Eragon ?

hj. : Dsl un peu court, mais je ne peux pas faire plus long, je promets que les prochains seront mieux Enfin seuls [Rommie] 956869

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Eragon posa ses mains sur les hanches de Rommie qui l'embrassa, Rommie lui dit que cela faisait longtemps qu'il ne c'était pas retrouvé seul et qu'ils devraient en profiter tant que la république et les Jedi les oubliaient. Eragon souria et fit un signe affirmatif de la tête. Eragon regarda par la fenêtre, il pensait encore à cette histoire de soeur, mais pourquoi Rommie lui avait-elle caché sa soeur? Eragon avait refermé son coeur à Rommie pour qu'elle n'y voit pas ce sentiment de trouble. Eragon regarda de nouveau Rommie, elle le regardait l'air un peut inquiète, elle avait due sentir son malaise, Eragon entendit Rommie parlait, elle lui demandait ce qui le troublait, ce qui le dérangeait, Eragon ne savait pas si il devait en parler à Rommie, il avait peur de ce disputer avec elle, ça aurait put être dramatique, pour les deux. Eragon s'entendit donc répondre :

Rien, rien... je me souvenait la première fois que l'on c'est vue.

Il souria et serra Rommie dans ses bras, il voulait que le temps s'arrête, qu'il reste ainsi, ensemble, loin de la guerre, loin de la politique, seuls, ensemble, que la seule chose qui compte sois leur amour. Eragon embrassa Rommie dans le cou et lui dit :

Je ne pourrait plus vivre sans toi ...

Eragon avait dit cela dans un murmure à peine audible, il aimait Rommie de tout son coeur, il avait réflechit ses dernier temps, il avait pensé à demander Rommie en marriage, mais il n'en avait pas encore eut l'occasion, peut être que cette semaine de tranquillité le lui donnerait l'occasion de faire sa demande...

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La premiere fois qu'ils s'étaient vu ?! et c'est cela qui le perturbait à ce point ! Non Rommie ne pouvait pas le croire, en aucun cas. Elle le regarda d'un regard intrigué. Lui aussi lui cacher des choses, et l'amour qu'ils se portaient réciproquement ne pouvait cacher quoi que ce soit. Rommie était loin d'être idiote, et Eragon jouait pour la premiere fois avec cela. Beaucoup trop de chose était arrivé en si peu de temps et le couple en avait souffert, il fallait faire vite pour le redresser, sinon ils souffriraient tout les deux des non-dit. Rommie se sépara de Eragon Et s'approcha de la fenêtre qui était grande ouverte.

- Je t'aime aussi, je pense jamais n'avoir aimé ainsi.

Mais les disputes sont des choses normales dans des couples normaux, mais ce couple la n'avait rien de normale. Rommie pensa à sa soeur, c'était certainement elle qui en était la cause. Elle retourna prêt de Eragon.

- Je sais que ce n'est pas ça. Dis moi exactement ce qui te tracasse, s'il te plait.

Si Eragon ne voulait rien dire, c'était normal, mais Rommie n'était pas prêt de lâcher l'affaire. Le jedi voulait savoir beaucoup de chose sur sa sœur, et Rommie était prête à lui répondre sans détour cette fois. De toute façon, depuis les incidents de Coruscante, il savait déjà beaucoup de chose.

- Dis moi

Dit elle en l'embrassant juste après.

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Rommie lui dit qu'elle l'aimait elle aussi, qu'elle n'avait jamais aimé comme cela auparavant, Eragon lui souria, son amante lui tournait le dos, elle regardait par la fenêtre, elle ce retourna et lui demanda ce qui n'allait pas, qu'il sois honnête avec elle qu'il lui dise exactement ce qui le troublait. Eragon aurait préféré éviter cette discutions, mais Rommie était assez têtue et il serrait obligé de lui dire ce qui le tracassait, il resta silencieux, perdu dans ses pensé, lorsque Rommie lui redemandat de lui dire avant de l'embrasser, lorsque leur lèvres ce séparèrent, Eragon regarda Rommie dans les yeux et dit :

Tu me demande ce qui me tracasse ? Je pense que tu le sais déjà....

Eragon marqua une pause, il parlait tranquillement, il en voulait à Rommie, mais en même temps il lui avait déjà pratiquement pardonné. Il continua :

Pourquoi ne ma tu jamais parler de ta soeur? Nous sommes ensemble depuis un certains temps déjà,mais tu ne m'en a jamais parlé pourquoi ? Si tu me cache des choses comme cela, comment puis-je te faire confiance?

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Elle le savait. C'était bien le problème de sa sœur, Camille qui avait débarqué quelques mois plus tôt au palais d'état major, au milieu du couloir remplis d'officiers, après plus de cinq années d'absence ou on la pensait morte. Rommie avait appris depuis son départ de Naboo pour Coruscante à vivre sans elle, et depuis qu'elle avait disparue, elle avait fait le deuil de sa petite soeur qu'elle aimait tant. Elle avait alors, pour pouvoir entrer dans l'ordre jedi, dû cacher ses origines à tous, le fait qu'elle était la fille d'un sith ne faisait pas d'elle un allié naturel de la république et des jedi. Elle avait cacher ses origines par obligation, seul le dossier militaire savait cela. Et encore, il n'avait pas tout. Elle se sépara de Eragon et s'installa à la table, au soleil.

- Tu te souviens que je t'avais dit que mon pere avait été assassiné par un contrebandier. Et ben, ce n'est pas e cas. Si il a été assassiné, mais pas par un contrebandier.

Elle réfléchissait à ce qu'elle allait dire, et dans quel sens. Car cette histoire était la sienne, ce qui lui donnait une pointe tragique.

- C'était un sith, ça tu le sais, et il a été assassiné par un autre sith, du nom de Kreath. Mon père avait qitté l'ordre sith et assassiner pour pouvoir s'échapper un des leurs. Personne ne le pardonna. Kreath, après de longues années de recherches trouva enfin mon père et l'assassina. J'ai été abattu, mais pas autant que Camille. Pendant des mois elle restait seule, elle pleurait en permanence. Quand je suis partie de la maison pour Coruscante, elle allait mieux, mais je ne savais ce qu'elle préparait.

Voila la partie qu'intéressait Eragon, la partie du devenir de sa sœur.

- Elle retrouva la trace de Kreath, et réussi à ce faire accepter pour être former au coté obscure. Elle fut la meilleur élève de leur ordre, remplit de haine, de violence, d'horreur et de puissance. Mais ils ne savaient pas que cette puissance était tiré dans la colere envers l'ordre sith. Lorsqu'elle est devenue la plus puissante de tous, une puissance que tu peux constater aujourd'hui, elle assassina son maitre. Sa vengeance était faite. Elle entama ensuite une vie d'érence dans le but de monter son nouvel ordre, et a chaque fois qu'elle croisait la route d'un sith, elle le tuait. Elle les marquait avec le même symbole que forme sa cicatrice au niveau de l'œil gauche. Je sais que tu as deja vu ce symbole autre part que sur Camille car j'ai consulté les archives jedi, et j'ai trouvé plusieurs dossiers sur ces meurtres aux symboles. Le chevalier noir qu'elle voulait être est alors né.

Venait à présent le moment de se justifier. Elle fixa eragon dans les yeux.

- Je n'ai rien dit pour me protéger avant tout. Car crois tu que si j'avais dit que j'avais une sœur sith et un père sith je serais la actuellement ? Gouverneur de la République et padawann ?

Invité

Eragon écouta l'histoire de la famille de Rommie, il en apris plus là que lors de toute la durée de leur couple, Rommie lui avait mentit sur tant de chose, Eragon regarda Rommie qui lui tournait le dos, assise sur une chaise, Eragon lui tourna le dos et regarda par la fenêtre, elle lui demanda ce qui ce serait passé sila république et les Jedi avait été mis au courant, serait elle ce qu'elle est, serait elle gouverneur et padawan? Eragon resta silencieu, en effet, elle ne serait peut être pas ce qu'elle est, mais à Eragon, pourquoi ne lui en avait elle jamais parlé auparaven ? Pourquoi ? Quel valeur avait alors les paroles de Rommie, comment Eragon pourrait il faire confiance à cette femme, comment pouvait-il continuer a croire qu'elle l'aimait alors qu'elle lui avait menti, qu'elle lui avait caché des choses, comment pouvait il lui faire confiance ? Comment ? Le silence était peusant, Eragon dit d'un to cassant :

Et a moi ? Pourquoi ne pouvait tu pas me le dire ? Pourquoi ? Ne pouvait tu pas me faire confiance ?

Eragon regardait toujours par la fenêtre

Invité

La question de eragon était légitime, pour Rommie, une certaine logique y était, ca rlle avait une aprtie androïde qui résonnait par logique, étude, logistique et mathématique, et aussi, elle avait vécue ça, pas Eragon. Alors comment quelq'un d'exterieur pouvait il comprendre completement ce qu'elle ressentait ? Elle avait attendu plus de la part de Eragon, mais sa réaction, bien que justifiée, la décevait beaucoup. Elle prit une inspiration et reprit :

- Car pour moi, c'était une periode que j'avais banni de ma vie, tout ce monde était mort, ma soeur était enterré. Peux tu comprendre ce que j'ai vécu ?

Rommie avait les larmes aux yeux, elle n'avait jamais parler de ça avant. Elle l'avait toujours caché, gardé tout pour elle, dans un coffre fort. Les larmes chaude commençait à couler.

- Même pas Dylan le savait, il l'ignorait totalement.

Dylan, depuis combien de temps n'y avait elle paspensé ? elel avait réussi avec difficulté mais ave cla précieuse aide de Eragon à tourner la page, pour revivre, mais aujourd'hui, elle se trouvait dans une situation critique.

- Je t'aime eragon, et il est vrai que tu ne peux pas me faire confiance avec ce lourd secret que je viens de te dévoilé, mais 'il te plait, essaye de me comrpendre !

Elle se leva et partie en courant sur la terrasse.

Invité

Eragon était en fachait, une colère qui embrumait son cerveau, qui ne le laissait pas choisir, il était perdu, jamais il n'avait été perdu à ce point, jamais. Il entendit Rommie courrir jusqu'à la terrasse, et il sentait qu'elle pleurait, Eragon attrapa la rambarde devant la fenètre et réflechit en essayant de chasser sa colère, il n'avait pas réagit comme il l'aurait due, Rommie avai due subir des choses très dur dans son enfance, Eragon avait reçut les mot de Rommie comme des pieux, elle avait même parlait de Dylan, ce qu'elle n'avait jamais fait en présence d'Eragon, le jeune Jedi regarda la nature de Naboo, ce calmant progressivement, il respira tranquillement, puis il réflechit, il avait vraiment très mal réagit, mais quel amant faisait il ? Il n'était peut être pas digne d'être avec elle, il ce retourna et partit en direction de la terrasse où Rommie c'était réfugié. Elle lui avait dit qu'elle l'aimait, et il avait décidé de la croire, il savait que Rommie ne lui avait pas mentit pour cela, il le sentait, il arrivait enfin à la terrasse, Rommie pleurait à chaude larmes, Eragon ce sentait très mal, il était en parti réponsable, même totalement résponsable des larmes qui coulait sur les joues de Rommie, il s'approcha d'elle et dit :

Rommie...Je suis désolé, je... Je ne sais pas ce qui m'a prit, j'ai perdu le controle, je te croit, je te fait confiance, je comprend que tu ai voulut me cacher ses chose, ses choses ont due te faire souffrir, je comprend que tu ai voulut oublier ce passage de ta vie.

Eragon s'approcha encore de Rommie :

Je t'aime....

Eragon serra Rommie dans ses bras, espérant qu'elle ne le repousse pas...

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