J’approchais du système de Kuat. Après les événements sur Telos IV, nul doute que la république me poursuivait. Pourquoi tout les infos sur l’artefact se trouvait t’elle sur des planètes appartenant a la république? Peux importe. Mon frère m’avait contacté ici. En d’autre moment, je ne serais pas venus, mais la puisque le prochain indice sur l’artefact si trouvais, je ne pouvais passer cet opportunité. Bien que son message soit peux clair. D’ailleurs, il est le suivant.

-Devos, c’est ton frère Tailon. Quelqu’un aimerais te voir sur Kuat. Tu connais surement Camille Marquez? Je sais que nous somme ennemis moi et toi, mais tu reste mon frère. Vas la rejoindre, elle pourrait t’aider. Plus que moi. Elle s’orat te retrouvés.

Bien sur, sur le coup, cela m’avait enragé. Puis après, j’avais révisé ma pensé. Je connaissais la réputation de Camille Marquez. Le ''chevalier noir''. Étrange cette femme était. Cependant, son nom laissait présager un lien avec la gouverneuse Rommie Marquez. Et si elle avait rencontré Tailon, elle possédait peux être des informations qui m’intéresserait. Sur Tailon, sur la république. Bref, j’avais tout a y gagné. Je prévoyais d’aller lui parlé. Et peux être qu’avec son aide, j’obtiendrais les infos. A moins que, je n’y aille d’abord. Il serait plus sage de faire cela. L’Anarchie s’approchait. Mais à mon habitude, ce fut un petit vaisseau de transport qui en sortit. Cette fois si cependant, j’avais pris plus d’effectif avec moi. 18 soldats sith. Seulement 4 resterait a l’intérieur du vaisseau. Les autre eux, viendrait avec moi. Du moins, jusque au moment où je trouverais les infos. Par après, j’attendrais passiament Camille. Sauf s’il y avait problème.

Cette fois si, je m’y étais pris à l’ avance. C’était un de mais espion qui se trouvais a l’accès des archive. Il m’attendait moi. Feintant une autorisation, je pus aisément rentré. Les soldats restèrent à l’extérieur. Pas question qu’il rentre dans cette mine d’information. Il n’avait pas l’habit de garde sith. Il ressemblait plus à des gardes du corps. Tout cela était trop facile. Se pourrait t’il que… quelqu’un veuille me facilité la tache? Peux importe. Je fis rapidement. Prenants les donné et partant. Tout cela était trop facile. J’avais hâte que de vrai piège se monte a moi. Surement bientôt. Car, toute les indice récolté semblais m’indiqué le même chemin à suivre. Je voulais cependant m’assurer de ce dernier indice pour en être sur.

Sortant des archive, je permis au soldat de partir. L’information était déjà dans mon terminal personnel. Moi, je décidai de me rendre au bar qui était le plus proche. Au temps s’amusé un peux. Créer du Chaos. L’espion lui, partit. Son boulot était finit. Mais, je voyais encore sa silhouette. Je décidai de lui demandé la direction du bar. Et de dépensé sa paye la bas. Pas question qu’il parte aussi aisément.

Je marcha rapidement. En peux de temps je l’avais rejoins. Il me regarda d’un air interrogateur. Je lui dis alors sur un ton autoritaire.

-Le bar le plus près se trouve ou?

Il me fit un signe dans une direction. Mais, je le regardai avec insistance. Il comprit vite que je voulais qu’il me le montre. Alors avec un soupir, il me dit de le suivre. Se que je fis. Peux après, nous étions a un pub miteux. Il s’en allait partir sans même un salut. La rue était vide a se moment la. Je décida dans profité. Utilisant la force, je le souleva. Il voulu lancé un cri apeuré, mais l’air ne passait plus. Il sentait son corps aplatir tranquillement. Je dis alors sur un ton menaçant.

-Il est maintenant trop tard pour toi d’apprendre le respect. Au revoir idiot.

Le soulevant très haut, je le pressa. Le sang giclât. Utilisant mon autre main, je le dispersai. Pendant quelque seconde, une pluie rouge s’abattit sur les civils. Beaucoup fur horrifié. Puis, je fis tomber le corps dans un groupe d’homme. Je ne doutais pas de leur nature. Surtout quand les tirs de blaster partirent en tout sans. Des contrebandiers. Croyant se faire attaqué par surprise, il avait tiré. La police locale avait riposté tout de suite. Moi, j’entrais tranquillement au pub. Puis, je pris une chaise. Utilisant la force, je tricha un jeu de Pazaak non loin de moi. Les Blaster finissent par parler. Mais le patron du lieu mécontent les fit sortir. Les blaster rejoignirent ceux déjà présent dehors. Beaucoup de gens restait à l’intérieur inquiet. Moi, je souriais. Mettant mais pied sur la table. Je relaxai dans se Chaos.

Camille était depuis un petit moment sur place. La planète de Kuat n'était pas une zone qui intéressait et attirait particulièrement la jeune chevalier noir. Cela faisait trois jours qu'elle se trainait en ces lieux maudits, remplis de souvenirs atroces, de sensations obscures, d'ambiances glaciales. A une époque, elle s'était jurée de ne plus jamais revenir ici, dans ses propres "enfers". Son corps, chaque cellule, chaque fibre ressent encore la mal et l'agressivité de ces lieux. Le plus grand sacrifice de sa vie a été commis, sur Kuat. Mais, bien que cela la faisait souffrir, elle était fascinée, tellement qu'elle revient encore dans ce quartier. La ruelle de droite, toujours autant plongé dans les ténèbres quelque soit le moment de la journée, était menaçante. Camille s'y engouffra, sans un bruit, le son de ses pas résonnait entre les murs comme un écho glaçant. Le sang séché y était toujours a cette endroit, sur le mur, ayant pour origine un point, cinq mètres plus haut. Cela revenait, elle le sentait, mais elle voulait affronté ce souvenir, seul ennemie qui lui restait invaincu. Ce souvenir qui la faisait souffrir, celui qui marque son passage au coté obscure, abandonnant son innocence pour le pouvoir, et avant tout, la vengeance.

Elle tomba à genoux, la douleur était trop forte. La cicatrice de son œil gauche était devenu rouge écarlate, son visage était crispé. Elle posa brutalement ses deux mains sur la partie gauche de son visage, la brulure provenant de la cicatrice était trop grande. Elle cria de douleur, impuissante.

"L'homme au capuchon noir avançait, les habitants fermaient leur maison de peur sur son passage. Il inspirait la violence, la haine, le chaos. Et même ceux qui n'avaient aucune affinité avec un quelconque pour le sentait et le fuyait. Ses lourdes chaussures produisaient un son grinçant qui raisonnait et glaçait le sang de toute personne qui l'entendait. Ses cheveux longs étaient sombres, en accord avec ses yeux, dont on ne faisait la différence. Son sabre laser fermement accroché à la ceinture il s'engagea dans une petite ruelle non différente des autres et guère accueillant. Une jeune femme, si on ne veut pas la qualifier de jeune fille, qui ne semblait guère avoir plus de 18 ans, l'attendait là, planter au milieu. Elle est belle, très belle, pensa l'homme. Mais en tant que narrateur, je puis dire que ça beauté était réel, mais la froideur de son allure faisait d'elle une image relativement repoussante, d'une beauté que l'on voudrait observait pendant tout une éternité mais aussi l'image cadavérique de la blancheur de sa peau que l'on voudrait éviter. Rien qu'a partir de là, nous étions obligé de faire des concessions. Ses cheveux noirs lui arrivaient au niveau des épaules. Ses yeux ressortaient, ils étaient brillants, de couleur cyan, presque turquoise. Elle était vétue d'un grand manteau noir qui lui arrivait à la cheville et qui épousait magnifiquement bien ses formes qui ne laissaient pas indiffèrent. Les restes de ses vêtement étaient aussi noir que le manteau. Ses bottes, beaucoup plus fine que celle de l'homme, mais beaucoup plus haute, suivaient bien le tracer de ses pieds. Qui aurait pu alors croire ou penser a ce qui allait suivre cette scène ? Personne.

L'homme s'approcha de la jeune femme, qui, a coté de lui, semblait en verre, une fragilité touchante, qui venait s'additionner à son charme. Cependant, l'homme qui lui tournait autour ne semblait pas toucher par ses charmes. Il l'observait certes, mais la décryptait, la scannait, mais l'observait pas par plaisir ou déplaisir. Elle en tremblait, presque de peur, si ce n'est pas le cas, mais a en douter. Si, elle était apeuré, cela faisait presque mal au cœur de la voir comme cela.

L'homme enleva son capuchon, et se mit derrière la femme sans qu'elle puisse le voir. Elle sentait sa présence au niveau de son coup, elle se demandait ce qu'il allait lu faire.

-J'ai appris que vous souhaitiez continuer votre formation avec moi, puis-je savoir pourquoi ?

La fille sembla soulager à la question, c'est exactement ce qu'elle voulait, qu'il aille droit au but.

- Mon maitre est un incapable. Et je sais que vous êtes très puissant, voila pourquoi je suis ici aujourd'hui.

Sa voix était naturelle, aiguë, porter par le vent, mélodieuse. Mais alors que faisait-elle ici, tout le monde l'ignorait.

- Comment me connaissez vous ?

Le moment difficile arriva trop rapidement, elle le savait, et cela risquait de dégénérer, et cela ne manqua pas. L'homme l'attrapa par la gorge et la plaqua contre le mur a tel point qu'elle ne touchait plus le sol.

- Il ne sert a rien d'essayer de me mentir, Camille Marquez.

Comment connaissait il son nom ? elle se le demanda.

- Je sais très bien que tu es la fille de James Ethan Marquez, je sais que tu as une sœur Rommie et un oncle ce nommant James Charles Ethan Karmer. Ce dernier pensait pouvoir m'échapper en changeant de nom, ridicule.

Camille étouffait, suffoquait. Il fallait qu'il lâche la pression immédiatement. Elle rassembla toute ses forces et envoya une onde de force qui envoya en arrière le sith. Mais ce dernier était puissant, et foudroya Camille qui tomba au sol. Il l'attrapa par le manteau et la releva.

- Quel fourbe ! Tu m'impressionne petite.

Certes mais Camille n'en pouvait plus.

- Je souhaite être formée par vous car vous êtes puissant, et je veux faire payer ma sœur et mon oncle d'avoir abandonner mon père lorsque vous l'avez abattu. C'était un lâche.

L'homme fut surpris des propos de la fille, mais y prêta tout de même attention. On aurait pu penser que elle aurait voulu plutôt venger son père en assassinant son assassin, mais a la place, elle voulait abattre sa sœur et son oncle ! Cette jeune femme était folle. Ce qui plut beaucoup au sith.

- Nous allons voir ce que tu vaux. Défends toi, car ce serait dommage de blesser un si beau visage.



Il lâcha en la tirant en arrière. Le défit lui plaisait. Camille savait qu'elle n'avait aucune chance, pas encore, mais il fallait faire face, affronter sa peur, ses faiblesses, son passé. Elle sortit son sabre laser, prête à attaquer. L'homme ne bougea pas.

- Qu'attendez vous Kreath ? demande-t-elle
- Seulement vous, abrutit.

Elle attaqua, la provocation est trop grande. Elle n'est pas abrutit, seulement instruit à l'art du coté obscure. Alors qu'elle allait porter le premier coup, elle se retrouva propulsé contre le mur. Elle retomba sur ses pieds et se releva.

- Bonne maitrise de soit, bien qu'un peu trop impulsive.

Camille attaqua et cette fois-ci, Kreath sortie son propre sabre, commença alors le premier duel entre eux. Camille tenait la route, mais on pouvait bien observer que Kreath s'amusait. La jeune élève sith, s'en aperçut, et voulu lui montrer qu'il ne fallait pas le prendre à la légère. Elle alla directement vers son torse, avec l'intention de le transpercer. Mais le seigneur sith para le coup, la transperçant elle et en lui touchant le visage. La jeune femme tombât au sol, ensanglantée. Le sith s'approcha d'elle, et la mit sur le dos.

- Jamais me défier comme tu viens de le faire, mon apprenti.

Elle avait réussi, mais elle se mourrait à présent.

- Si tu t'avise encore a faire cela, je t'enlèverais la vie.

Il reprit son sabre et traça un symbole sur le visage, au niveau de l'œil gauche de Camille. Cela la brulait, elle aurait eu envie de crier, mais les forces lui manquaient, comment avait elle pu croire pouvoir battre un tel seigneur sith ? l'homme fini son chef d'œuvre.

- Cette cicatrice te rappellera toujours que tu m'appartient, femme. Si tu veux vraiment être mon apprenti, il faudra que tu satisfasse mes moindres désirs.

Camille savait de quoi il parlait, elle maudissait pour la première fois ce corps qu'elle chérissait tant avant.

- Bien maitre.

Elle vendait son âme au diable, ainsi elle était prête à tout pour venger son père.
Le sith la soigna, elle avait perdu beaucoup de sang, mais il ne l'aiderait pas à se déplacer pour aller se soigner. Il partait déjà, lui faisant signe de ce relever elle même avec le peu de soin que ce dernier lui avait transmis. Le cauchemars commençait, elle n'avait plus d'âme; elle était condamnée."

Elle ouvrit les yeux. La douleur de sa cicatrice s'était légèrement atténuée, ou s'était elle qui s'y était habitué. Mais ce n'était plus la même chose agressive qu'elle avait ressentit tout a l'heure. Le ciel s'était chargé de nuage menaçant et il commençait à pleuvoir. Le sol était déjà trempé et Camille aussi. Elle utilisa ses bras pour se relever péniblement. Elle arriva a s'installer contre un mur tout en restant assise. Ses cheveux étaient deja trempé, l'eau coulait sur ses épaule et son pantalon. Le fantome était toujours là, dans cette espace restreint, qui marqua la fin de la vie pour Camille et le début de la mort dans les enfers. C'était la première fois depuis bien des années qu'elle osait l'affronter en revenant en ce lieu maudit pour elle.

Il pleuvait de plus en plus fort, les habitants de la ville retournaient au aps de course chez eux, sans se préoccuper de ce qui se passait à coté d'eux. Camille se releva péniblement. Elle devait accomplir une tache, ou plutôt participer à une rencontre qui pourrait lui apporter beaucoup. Cependant, ce n'était pas sans risque. Elle connaissait un peu la personne qu'elle allait rencontrer, elle avait pu, par renseignement fourni par différents informateurs dans toute la galaxie, à avoir une fiche d'identité complète, quoi que celle là était relativement vide.

Elle sauta sur un toit, et avança en direction du lieu de rendez-vous. Elle essayait de faire le vide au maximum de son esprit rempli de souvenir de plus en plus désagréable. Et, à sa grande surprise, elle réussit sans aucune difficulté. Elle était à présent toute mouillé, mais elle avait autre chose à penser. A présent, elle se trouvait en face. Elle avait vu l'agitement de l'atmosphère, les gens ne se tenait vraiment pas tranquille ici. Quoi que, il ne leur en fallait pas beaucoup, seulement la pluie les forcèrent à s'arrêter de se tirer dessus. Camille sentit le coté obscure. Mais personne. Elle vit un cadavre, jonchant le sol, cet homme ne s'était pas fait assassiné par un blaster, mais par un choc violent. Elle s'en approcha. C'était l'œuvre du coté obscure. Il était donc déjà là. Camille se releva et chercha la localisation de l'homme. Elle le situa dans le bar juste en face.

Elle passa la porte calmement. Son inconscient détecta tout de suite une grande puissance. A vrai dire, une telle puissance se faisait difficile à cacher, ce qui pouvait devenir une faiblesse en certaine circonstance, car la localisation de la personne ayant un tel pouvoir était relativement simple. Alors Camille n'hésita pas. Elle se dirigea vers la personne en question.

- Bonsoir

Mieux valait entamer directement la conversation, se sera mieux que de patienter des heures. Devos était comme elle le pensait, une personne sombre à l'interieur comme à l'exterieur, sans veritable sentiments et compassions. Un vrai sith pur et dure, animé par une force superieur à cette ordre qui le rendait encore plus mystérieux et dangereux. Camille allait pouvoir enfin commencer à faire connaissance avec ce "monstre".

Voila une demi-heure que j’Attendais. M’amusant ici et la a faire des coups bas a travers la force au différente personne. Bientôt, le bar fut presque vide. Seul quelque client effrayer restait. Contrait par moi bien sur. J’entendais le son caractéristique de la pluie. J’attendais que l’on se montre à moi. Je ne s’avais pas ce que cette Camille me voulais. Mais, j’étais curieux. Elle était puissance la Marquez. D’après se que je connaissais. Elle était pratiquement plus forte que les pauvres maitres de l’ordre sith. Normal, c’Est vieux fous ne possédais plus aucun pouvoir. Il s’entretuait trop pour un rien. Non, j’avais le réel pouvoir. Et bientôt, je trouverais le premier pilier pour la construction de mon armée.

-Bonsoir

J’étais calme. Je m’étais rassasié en matière de Chaos. De destruction et de peur. Qui sait combien de temps cela durait? Peux importe, j’étais ouvert a la discutions. La femme ressemblait à Camille. Du moins, se que l’ion m’avait dit sur son portrait physique. Qui n’était pas trop difficile à établir puisque il était d’une certaine façon une copie de Rommie. Et elle, j’avais plusieurs photos sur son cas. Alors, je dis sur un ton calme et reposer.

-Bonsoir. Je t’attendais Camille. Tu es chanceuse d’arrivés dans l’un des rares moments ou je suis calme. C’est pratiquement un cadeau que tu reçois. Alors, pourquoi voulais tu me rencontré? M’arrêter dans mais projet? Des informations… (Avec un petit rire) tu veux apprendre la puissance du Chaos?... ou me Marier pour faire plus rigolo.

Je ris un peux a cette dernière phrase. Déjà mon envie de destruction revenait. Ma folie me reprenait. Mon envit de meurtre se ravivait. Mais, je calculai rapidement combien de temps cela prendrais. Environ une heure avant de faire d’autre victime. Aussi je dis sur un ton un peux plus insolent.

-Alors ma jolie, tu te décide a parlé ou tu a soudainement donner ta langue a l’obscur?

Aucun doute que cela la ferait réagir. Cependant, la je découvrirais si elle resterait en place ou pas.